Les combats du moniteur

Les combats du moniteur

Introduction

L’ennemi connaît l’importance de notre travail parmi les enfants. Il sait le potentiel que représente une jeune vie sauvée. Ceux qui sont impliqués dans le travail parmi les enfants sont donc tout particulièrement dans sa ligne de mire.

S’il existe un travail qui procure beaucoup de joie, c’est bien le travail parmi les enfants. Leur naturel, leur réceptivité, leur fraîcheur sont tellement communicatives !

Mais il existe aussi dans la vie du moniteur des moments difficiles, où il doit lutter pour continuer face aux oppositions qu’il rencontre.

La Parole de Dieu, parole de vérité, qui n’occulte aucun aspect de la vie chrétienne, nous offre ses réponses pour que notre service soit empreint de la victoire du Seigneur Jésus.


Le combattant, qui est-il ?

Une personne née d’en haut, qui est passée du camp de Satan au camp de Dieu.

Une personne engagée dans le service, “convertie à Dieu, en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai” (1 Thessaloniciens1.9), une personne, de ce fait, dérangeante pour l’ennemi.

Une personne vulnérable, imparfaite, faible, limitée : “Nous portons ce trésor (Christ) dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.”(2 Corinthiens 4. 7)

Une personne qui peut se prévaloir de l’autorité de son Seigneur.“Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité.” (Colossiens 2 : 10)

Contre qui se bat-il ?

Il ne se bat pas contre les êtres humains, même si l’ennemi peut se servir d’eux pour accomplir ses plans.“Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang …” (Éphésiens 6.12). Ses ennemis humains, il est appelé à les aimer : “Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent…” (Matthieu 5.44)

Il se bat contre des ennemis spirituels : “…mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.”(Éphésiens 6.12). Satan est le chef de ces autorités, il rôde, guettant nos faiblesses, attendant le moment favorable, plein de ruse et de mensonge, poussé par la volonté de détruire l’œuvre de Dieu et d’entraîner ses créatures hors du plan de Dieu.

Quel est l’objet du combat ?

La progression du royaume de Dieu. Chaque combattant travaille dans une ou plusieurs sphères d’activité (famille, église, voisinage, milieu professionnel …) pour proclamer la bonn
e nouvelle du salut et pour apporter sa contribution à l’avancement du royaume de Dieu.

Nous parlerons ici spécifiquement du travail parmi les enfants. Comme nous l’avons dit dans l’introduction, l’ennemi connaît l’importance de notre travail parmi les enfants. Il sait le potentiel que représente une jeune vie sauvée. Ceux qui sont impliqués dans le travail parmi les enfants sont donc tout particulièrement dans sa ligne de mire.

Des combats externes et des combats internes

Il y a les combats que nous avons à mener à l’extérieur du peuple de Dieu, quand nous devons faire face à l’opposition des incroyants. C’est dans la prière et avec la foi que ces victoires sont obtenues.
Mais nous pouvons aussi rencontrer des oppositions au sein même du peuple de Dieu. Elles se manifestent par des conflits :

avec des parents et des enfants (enfants perturbateurs, parents négligents …)
– avec d’autres moniteurs (manque d’amour mutuel, de patience, conflit de générations …)
avec des responsables (manque de considération, d’investissement …)

Nous pouvons enfin avoir à combattre dans notre sphère personnelle et familiale.

La stratégie de l’ennemi

L’ennemi a une stratégie que nous décrit la Parole de Dieu : “Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera.” (1 Pierre 5.8). Il est à l’affût, il attend le moment favorable : “Le diable s’éloigna de lui jusqu’à un moment favorable.” (Luc 4.13), afin de trouver un accès dans notre cœur, si nous ne veillons pas.

Comment s’y prend-il ?

1) Il nous insuffle des pensées : découragement, sentiment d’infériorité ou d’inutilité, rancune, oppressions, craintes …

2) Il cherche à nous séduire par la recherche de popularité, de réussite, un gain malhonnête, la dissimulation … “Pierre lui dit : Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu mentes au Saint-Esprit, et que tu aies retenu une partie du prix du champ ?” (Actes 5 : 3).

3) Il nous harcèle par des problèmes personnels : famille, enfants, santé, travail, argent … Nous ne parlons pas de possession par des esprits démoniaques. Jésus et les apôtres ont chassés les démons de personnes qui venaient à eux pour être guéris ou pour écouter l’évangile. “Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité.” (Matthieu 10.1).

On ne trouve dans la Parole de Dieu aucun exemple de chrétien possédé. Les croyants sont le temple du St Esprit : “Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu … ?” (1 Corinthiens 6 : 19).

Mais un chrétien peut être harcelé : “Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point.” (Luc 22.31-32)

Un chrétien peut donner un accès à l’ennemi : “Si vous vous mettez en colère, ne péchez point; que le soleil ne se couche pas sur votre colère, et ne donnez pas accès au diable.” (Éphésiens 4.26-27) ; “Dès que le morceau fut donné, Satan entra dans Judas.” (Jean 13.27).4)

4) Il nous résiste. Quand on enseigne la Parole de Dieu, il peut arriver qu’on sente une résistance, une opposition ; l’auditoire semble hermétique, fermé.

Notre stratégie

1) En ce qui concerne les conflits au sein du peuple de Dieu, ils sont souvent évoqués dans la Bible. Des chapitres entiers traitent des raisons de ces conflits et nous instruisent sur la façon dont nous devons réagir selon le Seigneur. “Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont …, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes…” (Galates 5.20). “Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre cœur…” (1 Pierre 1 : 22). Examinons notre cœur, nos motivations, prions, louons et déchargeons-nous sur le Seigneur.

2) Acceptons la discipline de notre Seigneur. Un disciple qui ne suit pas son Maître dans l’obéissance et la soumission n’arrivera pas à grand-chose dans son œuvre. Il fera des dégâts et blessera les autres. Prenons du recul pour considérer la famille de Dieu. Il est important de voir plus loin que nos petites rivalités les uns par rapport aux autres. Il est essentiel, vital, de garder un climat de paix et d’amour dans l’église. Les rancœurs ont tellement vite fait de s’installer ! Elles attristent le Saint Esprit, empêchent l’exaucement de nos prières et font le jeu de l’adversaire.

3) Prenons soin les uns des autres. Les personnes sont plus importantes que les programmes et les projets. On peut toujours prier pour que le Seigneur agisse puissamment ; cependant, si nous ne lui obéissons pas et si nous ne nous soumettons pas les uns aux autres dans l’amour, le Saint Esprit est limité dans son action. L’esprit de jugement, de rivalité, les critiques et les mauvais sentiments des uns à l’égard des autres attristent le Saint Esprit.


4) Soyons souples dans nos relations avec les autres. On ne peut pas imposer notre façon de penser aux autres, aussi bonne soit-elle à nos yeux. Cependant, il ne faut pas baisser les bras quand notre combat est juste ; nous devons faire tout notre possible pour que les enfants ne soient pas délaissés par l’église (elle devra rendre compte à Dieu pour les enfants qu’il lui a confiés), pour qu’une bonne entente soit établie avec les parents, pour qu’un climat de collaboration existe entre les moniteurs, le tout dans l’amour et le respect, avec patience (savoir attendre) et dans un esprit de paix.

5) Appuyons-nous sur la Parole de Dieu, nourrissons-en nos pensées et nos certitudes, afin d’être capable de résister comme Jésus l’a fait quand il a été attaqué : “Le tentateur, s’étant approché, lui dit : Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. Jésus répondit : Il est écrit : L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.” (Matthieu 4.3)

6) N’écoutons pas l’ennemi, ne nous laissons pas persuader par ses discours séduisants. Nous pouvons être une proie facile pour lui si nous luttons avec nos seuls raisonnements. Il se jouera de nos sentiments, de nos impressions, il peut nous entraîner dans une logique qui semblera se tenir d’un point de vue humain, mais qui n’aura aucun fondement biblique.

7) Travaillons à la façon de Dieu. Combien il est important de demeurer en Jésus quand on le sert, d’être à l’écoute de ses consignes, d’être soumis aux directions de l’Esprit Saint ! Nous travaillons dans un champ spirituel, même si cela passe par du social, de l’humain, du pratique, du ludique. Si nous voulons un résultat spirituel, nous devons utiliser :

– des moyens spirituels, que nous trouvons dans notre communion avec Jésus : “Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi. Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire.”(Jean 15.4-5)

– et des armes spirituelles, celles de Dieu : “Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable…” (Éphésiens 6.11-18)

8) Résistons avec foi. Ne soyons pas accablés par le fait que nous ayons des combats. Le Seigneur les permet, c’est l’épreuve de notre foi, qui est nécessaire pour notre développement spirituel, le perfectionnement de notre foi : …afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra.” (1 Pierre 1.7).

Dieu retourne les attaques à notre avantage, et du mal qu’on veut nous faire sort le bien : “Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.” (Romains 8 : 28)

9) N’ayons pas peur des combats : le Seigneur “a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix.” (Colossiens 2 : 15) ; “… celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons…” (Éphésiens 3.20). “Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ?… Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.” (Romains 8.33).

10) Soyons conscients du combat. Quand on sent une oppression, une résistance à l’annonce de la Parole de Dieu, ne luttons pas contre les personnes, mais réalisons que ce sont les puissances des ténèbres qui nous résistent. Prenons simplement et fermement possession par la foi du terrain sur lequel nous nous tenons. Faisons face avec assurance et ne nous laissons pas impressionner : “Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde.”(1 Pierre 5.8-9) ; “Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous.” (Jacques 4 : 7).

Conclusion

En conclusion, en quoi consiste la victoire ? C’est ne pas subir, mais être actif à la façon de Dieu :
– combattre le bon combat (ne pas se tromper de combat)
– achever la course (persévérer et achever)
– garder la foi

“J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi.” (2 Timothée 4.1-18)

Si nous combattons selon les règles de Dieu, la victoire est absolument certaine !

Quelques versets clés

Lire ces versets en observant dans quel contexte ils ont été écrits :
– 1 Pierre 5.1-9
– Jacques 4.1-7
– Éphésiens 6.1-13
– 2 Timothée 4.1-18

 

Travailler ensemble

Travailler ensemble

Tu as droit a mon respect !

Dans un travail d’équipe, notamment en binôme, chaque moniteur doit s’en tenir à la part qui lui a été impartie : chant, leçon, activités… sauf besoin particulier et accord entre tous. Par exemple, il doit éviter de commenter les chants ou de prier longuement en introduction de la séance. Cela évitera que le capital d’écoute des enfants ait été trop entamé quand viendra le moment de la leçon.

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Vive la diversité

Chaque moniteur a sa particularité et son importance, quelque soit son niveau intellectuel, son avancement spirituel, son expérience ou son âge. Le Seigneur peut se servir de tous et les enfants ont besoin de tous. Apprécions la richesse d’une équipe diversifiée, apprécions-nous les uns les autres dans nos particularités.

Oui à l’unité

Quel témoignage merveilleux pour les enfants qu’une équipe de moniteurs qui vit l’évangile, non pas en accomplissant forcément de grandes performances, mais en vivant l’amour, la patience, le pardon, le don de soi ! Pour rester unis, le Seigneur nous a donné un excellent moyen, qui fait tomber beaucoup d’armes humaines : prier ensemble et les uns pour les autres.

 

Aimer les enfants comme Jésus

Aimer les enfants comme Jésus

L’AMOUR, ÇA SE PROUVE

Si on nous demande si nous aimons les enfants, nous allons répondre “bien évidemment !” Et pourtant, la réponse n’est pas si simple. Notre amour peut arriver rapidement à ses limites dans certaines circonstances. Le véritable amour n’est pas seulement ce que nous ressentons, comme de la tendresse, une émotion, de la sympathie, de la compassion, etc. C’est aussi et surtout ce que nous faisons, ce qui passe par nos actes. Dieu ne s’est pas contenté de nous annoncer du haut du ciel : “je vous aime !” Il a prouvé son amour pour les hommes d’une façon concrète :
“Mais voici comment Dieu a prouvé son amour pour nous : le Christ est mort pour nous, et pourtant, nous étions encore pécheurs.” Romains 5.8
De même, les enfants ont besoin d’avoir la preuve de notre amour pour eux. Et pour cela, nous devons leur manifester de façon pratique que nous les aimons.
“Mes enfants, n’aimons pas seulement en paroles, avec de beaux discours ; faisons preuve d’un véritable amour qui se manifeste par des actes.” 1 Jean 3.18

AIMER SELON DIEU

C’est un vaste sujet ! Voyons quelques pistes que nous trouvons dans la Bible :

  • ” Ayez de l’affection les uns pour les autres comme des frères qui s’aiment.” Romains 12.10
  • “Mes frères et mes sœurs, vous croyez en Jésus-Christ, notre Seigneur plein de gloire. Alors ne faites pas de différence entre les gens.” Jacques 2.1
  • “Soyez toujours les premiers à vous respecter les uns les autres.” Romains 12.11
  • “Qui aime est patient et bon, il n’est pas envieux, ne se vante pas et n’est pas prétentieux ; qui aime ne fait rien de honteux, n’est pas égoïste, ne s’irrite pas et n’éprouve pas de rancune ; qui aime ne se réjouit pas du mal, il se réjouit de la vérité. Qui aime supporte tout et garde en toute circonstance la foi, l’espérance et la patience.” 1 Corinthiens 13.4-7

AIMER EN PRATIQUE

De quelle façon pouvons-nous appliquer ces textes dans notre travail pour les enfants ?

  • par l’affection : notre relation avec les enfants doit être chaleureuse. S’adresser à eux avec douceur, être proche d’eux, avoir un contact tactile (avec retenue et décence bien sûr). L’enfant a besoin de se sentir en sécurité.
  • par une attitude impartiale : pas de préférences, que ce soit par rapport au comportement de l’enfant, à son niveau social, à la popularité de sa famille dans l’église, à sa nationalité, à son stade de développement, etc. Aimer l’enfant tel qu’il est : c’est lui démontrer que Dieu l’aime tel qu’il est. A noter : les enfants les plus “sages” ne sont pas les plus aimés de Dieu, ni les plus proches du Seigneur. Veillons à ce que notre attitude ne laisse pas penser cela. Les enfants qui répondent le mieux aux questions, qui “savent tout”, ne sont pas forcément ceux qui sont convertis. Ne leur laissons pas penser qu’ils sont agréables à Dieu à cause de cela. C’est l’état de leur cœur qui compte.
    Ne pas porter davantage d’attention à un enfant qui nous touche.
    Les enfants les plus difficiles sont souvent ceux qui ont le plus besoin d’amour.
  • ne pas porter de jugement, de condamnation (en paroles ou en pensées) sur leur éducation, leurs habitudes, l’engagement de leur famille, etc. Soyons au contraire pleins d’amour et d’encouragement, et prions pour les familles en difficulté.
  • avoir de la considération : en portant de l’intérêt à leur situation spirituelle, leur vie quotidienne, dans la mesure où ils sont disposés à en parler, leurs centres d’intérêts, leurs goûts.
  • en étant disponible pour eux : les écouter, les aider, prendre du temps pour un entretien.
  • en ayant du respect : exercer une discipline dans le groupe afin que chacun s’y sente à l’aise, mesurer ses paroles, les saluer quand on les croise hors de la classe, dans l’église, au même titre que les adultes. travailler non dans la médiocrité, mais dans la qualité.
  • en se donnant : consécration, persévérance et humilité dans le service, temps nécessaire pour préparer et prier.

 

Si nous savons aimer les enfants, le Seigneur se sentira à l’aise dans notre classe et soutiendra notre travail.

Avez-vous une âme de champion ?

Avez-vous une âme de champion ?

Un sportif ne se révèle pas par hasard un champion le matin de la victoire. Cet instant est juste la manifestation de ce qu’il a été depuis parfois bien des années. Pour réussir, il a du faire des choix. Il a du s’entraîner et se préparer avec courage et détermination pour atteindre son objectif. (Rappelons-nous la vie personnelle de David, puis son combat et sa victoire contre Goliath).

Si nous voulons réussir dans notre travail parmi les enfants, nous ne pouvons pas faire l’économie, d’abord d’une bonne “condition générale spirituelle”, et ensuite d’une sérieuse préparation en vue de l’objectif à atteindre.

Mais pas de panique ! Le Seigneur est là, nous avons sa merveilleuse Parole qui nous instruit, et aussi la puissance et la sagesse de l’Esprit de Dieu. Il veut que nous soyons non seulement vainqueurs, mais plus que vainqueurs dans notre mission !